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souvenir 5 : Kim a osé s'approcher et ramasser un bout de charbon : quel courage !

Deux techniciennes de l'équipe de nuit
vous livrent leurs secrets de fabrication.


Une virée nocturne aux travers des différentes phases de sommeil, durant lesquelles les émotions et les tensions
vécues par Kim dans son quotidien, prennent une nouvelle dimension.

Car rien n’est jamais simple quand on a 8 ans...

Ça tombe bien, les rêves sont là pour organiser tout ça

 deux techniciennes consciencieuses s'attachent à ce que rien ne vienne perturber le sommeil réparateur de l'enfant.

Vous vous demandez
ce qu’il se passe dans votre
cerveau quand vous dormez...

Venez passer une nuit à bord
de
l’Épiphyse de Kim.

S'activant au cœur du cerveau de Kim, nichées dans la glande pinéale, deux techniciennes consciencieuses s'attachent à ce que rien ne vienne perturber le sommeil réparateur de l'enfant.
Tryptophane, taux de glycémie, mélatonine…
Toutes les données semblent conformes lors de la

phase du sommeil profond.

Mais quand l'arbre brûlé sur le chemin de l'école,
le cours de gymnastique ou encore la table de multiplication par 7 se réactivent pendant le sommeil paradoxal,

cet intense trafic de souvenirs, plus ou moins agréables,
amorce un mauvais rêve...

souvenir 4 : révision de la table de 7 en vue de l'interrogation de mathématique !
souvenir 3 : quand l'arbre brûlé sur le chemin de l'école amorce un mauvais rêve...
souvenir 1 : cour de gymnastique : la corde raide, le désespoir de Kim avec ses petits bras en guimauve...
souvenir 2 : cour de mathématique, Kim toujours à rêvasser est plus attiré par l'affiche que par le tableau !
Un baleine des bois...
Un des habitant de la canopée :une fleur libellule...
Lynda Bisch à son poste de travail
un rond rouge
souvenir 6 : la gomme qui sent bon prêtée par Yassine en cour d'arts plastique
Les techniciennes analyse la situation ; voyons voir si on a tout ce qu'il faut pour passer une bonne nuit ?!
3 ronds de couleur à l'encre
Quand les araignée deviennent monstre...
Quand les technicienne ont si bien surmonté les difficultés qu'elle ont produit de la Dopamine !
Quand deux gommette transforment une araignée en petite noireaude amicale
Quan l'arbre mort reprends vie grâce à la couleur !
Attention, le cauchemar risque de provoquer le réveil de Kim !!!


Vite, chacune
à son poste !


Il faut réagir, s'adapter,

expérimenter, développer sa

joyeuse créativité afin d'élaborer

un nouveau songe pour aider Kim

à apprivoiser
ses peurs.

Juliette Armagnac manipulant des marionnettes de papier sur la troisième phase de sommeil paradoxal

Un spectacle musical dessiné atypique

 

Ce que la nuit nous murmure
place au centre de l'histoire

la création visuelle et sonore.

L'illustratrice et la musicienne sont des

personnages à part entière
pour qui l’acte de créer à
une fonction bien concrète :

fabriquer des rêves pour faire
le grand ménage des émotions.

Une invitation
à surmonter
ses peurs

La peur
est traitée au plus proche de la

réalité du ressenti d'un enfant,
sans la minimiser.
Ainsi des roulements de tambours, des

silhouettes effrayantes feront leur

apparition au gré des cauchemars mais

les ruptures, le ton burlesque, les adresses

directes au public sont autant de

soupapes permettant de

prendre du recul.

Quand le monstre devient amical par la magie de la peinture...

Une approche
didactique
du sommeil et
des rêves

Un petit bonhomme qui ne quitte jamais ses baskets rouge, même quand il pleut.

Le sommeil est abordé
d’un point de vue pragmatique

pour mieux en comprendre la nécessité
et les enjeux, comme certaines fonctions
essentielles : croissance, digestion, organisation des

émotions, ancrage des apprentissages...

Le spectacle est l'occasion de découvrir
les différentes phases q
ui le composent ainsi que
les rouages biologiques qui garantissent
son bon fonctionnement.


Le rêve est présenté comme
une expérience bien réelle
ayant un impact physiologique qui nécessite

attention et compréhension.
 

Un univers
sensoriel
intense

Le rêve, réalité individuelle et intime,
peut être porteur

d’une grande poésie.

Lors des phases de sommeil paradoxal
la voix devient musique,
les images naissent sous le crayon

de l'illustratrice, la créativité se déploie dans

un florilège de couleurs et de formes.

Et on voudrait que ça dure

toujours…

Car le rêve
n’a pas de limites, si ce

n’est celle de l’imagination.
Mais voilà, le réveil sonne et la

vie reprend son cours...

" Kim Kim... C'est l'heure

d'aller à l'école"

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